Les Côteaux

Petite actualisation des tarifs: la formule E=P ou P+D est à 20€, la totale (E+P+D) est à 26€, ce qui, compte tenu de la qualité, est une affaire.
Alors, bien sûr, on peut aussi sympathiser avec le patron, parler flacons, et les goûter... mais ceci est une autre histoire !

Pas de changement aux Côteaux. Toujours cet accueil familial et chaleureux. Toujours cette cuisine faisant la part belle aux beaux produits et aux justes cuissons. Un œuf en meurette parfait (c'est rare !), une andouillette majuscule, et bien entendu les "p'tits vins" que vous trouvera le patron qui connait sa cave (hier un excellent Morgon 2007 en pot).
Alors bien sûr, si l'on y va tous les trois jours, on se lassera vite d'une carte qui ne change pas... Mais si l'on y va seulement de temps en temps, cette adresse est hautement recommandable, d'autant que les prix n'ont pas bougé depuis l'année dernière.

Toujours cet accueil chaleureux et bon enfant, toujours ces vins "trouvailles" délicieux et (souvent) à prix doux... et toujours la même carte ! C'est toujours aussi bien exécuté, les produits sont toujours de première qualité, mais qu'est-ce qu'on aimerait un vigoureux plat-du-jour de temps en temps, histoire de changer ! Attention à ne pas tomber dans la routine, car le but, c'est quand même que les clients reviennent, non ? Je suis Carpe-diem dont la théière grisouille; ceci doit être considéré comme un appel au renouvellement. Madame le chef en a très largement la capacité !

Si l'accueil bon enfant, la qualité des plats et les prix ne changent pas, il y a un peu de neuf... du côté de la carte. Son actuelle mouture entérine la disparition de deux mets emblématiques : la terrine de queue de bœuf et confiture d'oignons, le fondant d'agneau et son embeurrée de choux... dommage, elle a perdu de son originalité ! Parmi les nouveautés, le croustillant de St-Nectaire et tomates confites, les tripoux. Quant aux vins, ils gardent tout leur charme. A une prochaine...

Deuxième visite au centre de la France. Le duo Jérome-Kathy est toujours aussi gentil. La carte ne change pas non plus, et peut-être une once de renouvellement serait-elle opportune ? Il n'empêche, nous nous sommes régalés dans les solides comme dans les liquides. Soutenez ce couple d'Aurillac : leur cuisine est 50% lyonnaise, 50% auvergnate, et 100% du cœur !

Ce petit restaurant bar à vin est très sympathique, que ce soit vu de l'extérieur, comme de l'intérieur. L'accueil est bon, le patron est très sympathique. Pour moi qui n'aime pas le vin (à part certains vins blancs liquoreux), le patron m'a fait goûter un Coteau du Layon, un blanc très fruité et sucré excellent. J'ai pris un menu à 26 euros : excellentes cochonailles en entrée, fondant d'agneau aux choux en plat de résistance (je n'ai pas du tout aimé les choux), et fondant au chocolat en dessert. Par contre, il n'a pas possible d'avoir une carafe d'eau, mais une bouteille de badoit à 6,5€. En conclusion, les Côteaux sont une bonne adresse pour les amateurs de vin et de bonne cuisine. Pour ma part, je n'ai vraiment pas été séduit par le plat de résistance que j'ai choisi, ni par les autres plats sur la carte.

Merci à mes confrères de Mmmm pour m'avoir fait découvrir ce très bon restaurant : en apéro, on a goûté le Côteaux du Layon, excellent ! En entrée, j'ai choisi la terrine de queue de boeuf chaude avec sauce et confiture aux oignons : succulente ! Mes amis avaient opté pour une assiette de cochonaille : très bonne. En plat principal, j'ai pris la tête de veau sauce gribiche : très bonne. Mes amis ont pris des rognons : délicieux ! Tout comme l'andouillette. Le fondant d'agneau aux choux était divin également ! En dessert, j'ai pris le pain perdu avec glace à la crème brulée : très bon. D'autres ont pris le saint Marcellin au four : délicieux. Au final, une cuisine excellente ! le patron qui fait le service est très sympa. En revanche, en partant, la patronne nous a livré ses états d'âme : "vous êtes dans un bar à vin, je ne peux pas servir de carafe d'eau à tout le monde..." C'est vrai que dans le groupe on avait une personne qui ne buvait pas de vin, et qui a demandé plusieurs fois une carafe d'eau mais on a pris plusieurs bouteilles et de la Badoit. D'après la patronne, notre groupe n'tait pas assez rentable (!), on a quand même laissé une addition de 34 € par personne et on était neuf. Dommage pour cette attitude qui nous a gâché ce bon moment ! :-( J'y reviendrai peut-être en petit comité (une ou deux personnes) mais plus jamais avec un groupe d'amis. Sans ce dernier incident indigne d'un professionnel (je comprends qu'elle ait des états d'ame mais qu'elle les garde pour elle et qu'elle refuse les groupes à l'avenir, j'aurais mis une théière verte mais là ce ne sera que la noire. Dommage car leur cuisine était délicieuse...

Après mes petits camarades, peu à ajouter, hormis une autre théière verte. Le chaleureux couple qui officie est d'Aurillac (Cantal), d'où une cuisine moitié lyonnaise et moitié auvergnate.
Ne cherchez pas le plat du jour, il n'y en a pas. Nous avons apprécié les quenelles de brochet avec bisque de homard, précédées par des oeufs en meurette... or, ceux-ci étant arrivés tièdes, j'en ai informé le patron : réponse, "je vous les refais" (et pas je redonne un coup de micro-onde). Le moelleux au chocolat (dans son ramequin) était lui aussi savoureux. Enfin, dans ce temple du Beaujolais, j'ai goûté un excellent verre de Côteau du Layon. Bref, un établissement où il fera bon revenir.

Fouchtra, nous nous croyions en Auvergne d'où est originaire le couple sympa qui nous reçoit, mais en fait, nous sommes en terre lyonnaise. Vous connaissez comme moi la beaujolaisthérapie à Paris ou le patron est à fuir; ici c'est la même thérapie qui nous est prodiguée en meilleur et avec le sourire. Tout y est goûtu. Et sans aucun "opportunisme" de ma part, que vivent les Côteaux.

Le Motard, le 12/12/2008 [ 1354 commentaires sur le site depuis le 14/06/2005 ]

Tout y est, le bon accueil chaleureux du Patron, le sourire de la Patronne en cuisine, les nappes Vichy, les bons produits donc le "bon manger"... le bon cholestérol : Charcuterie auvergnate, tête de veau, superbe andouillette, chou farci etc... très bons vins, et, ce qui ne gâche rien, addition très raisonnable.

Cirenoir, le 11/12/2008 [ 40 commentaires sur le site depuis le 06/03/2008 ]

J'en connais qui vont à Lyon pour trouver un bouchon (suivez mon regard...), moi, je vais dans le quinzième, à Paris... Un tout petit resto-bar à vins à un petit coin d'une petite rue (rue Clouet) qui semble écrasé par le viaduc du métro aérien, deux tonneaux à l'entrée, des vitrines à petits carreaux aux rideaux en Vichy rouge et blanc, vous êtes arrivés aux Côteaux, minuscule resto lyonnais par la surface, mais grand par la qualité des mets. Le pilier de rugby en salle, c'est le patron qui prendra soin de vous et de vos verres (grand choix de Beaujolais), la jolie jeune femme en cuisine, c'est la patronne-cuisinière et elle a un sacré talent ! Deux formules: E+P ou P+D à 20€, ou la totale E+P+D à 26€. Votre choix sera court mais goûtu : oeuf en meurette, pied de cochon grillé, assiette de cochonailles, 6 huîtres, ou l'excellentissime terrine de queue de boeuf servie chaude avec sa confiture d'oignons, ça, c'était les entrées. Les plats : tête de veau sauce gribiche, andouillette au Chablis, rognons de veau à la moutarde, quenelles de brochet, hampe de boeuf aux échalottes, et un fondant d'agneau et son embeurrée de choux absolument parfait. Je ne voulais pas prendre de dessert, mais quand on m'a parlé de St Marcellin rôti au four, j'ai craqué ! Vous m'avez compris, j'ai été emballé par ce petit bouchon, même si l'on n'y retrouve pas toutes les spécialités lyonnaises habituelles ; tout est fait maison, à la demande et avec des produits frais. Il y a de l'amour dans cette cuisine et je le promets, j'y retourne bientôt ! Réservation impérative le soir.

JPD, le 12/11/2008 [ 437 commentaires sur le site depuis le 15/07/2006 ]

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